chambre de Cecilll

Cecilll déposa ses affaires sur un paravent puis ouvrit son armoire et choisi sa tenue d'équitation et parti se changer

Voila qui est mieu... aller c'est parti pour une promenade a cheval

mmmmmmmm cette chambre n'est pas surchargée mais elle est un peu trop grande

Moorcock s'était presenté au seuil de la chambre de sa douce et s'arreta stupefait : Quelle merveille !
Une chambre tout en simplicité, tamisée par la lumière de deux grandes fenêtres où les rayons jouaient avec les tentures et les broderies fines.
Le lit, au centre de la pièce, avait une taille imposante.
Quelques meubles rehaussaient l'aspect intime de la chambre.
Il reconnaissait là le caractére de son ange.
Tout en douceur, en sensibilité, en harmonie.
Il s'avança pour caresser le drap de satin et attendit sa belle.

Désolé je je t'ai fait peur, mon ange !

Moorcock se redressa et regarda Cecilll qui se tenait sur le seuil de la chambre en tenue de Cavaliere.
Elle était belle et il se dit qu'il avait vraiment de la chance.

Tu ne m'avais pas dit que ton petit nid était aussi douillet !
Il fit le tour de la chambre du regard et termina sur Cecilll.
Il ouvrit grand les bras et attendit qu'elle vienne s'y blottir.
Viens, petit rossignol !

Moorcock savait combien sa douce était heureuse et il partageait ce bonheur. Plus tard, il lui dirait ses projets d'avenir pour tous les deux mais là, il gouttait à la saveur de son baiser passionné et y repondait avec tout l'amour qu'il lui portat.
Elle avait le chic pour enflammer ses sens et il devait se controler pour ne pas glisser doucement sur lit et l'entrainer dans sa chute.
Le chateau était fréquenté et ils n'étaient pas encore "officiellement" fiancés !

Il l'ecarta un peu, lui sourit et lui dit :
[i]Soyons sage, mon ange ! Veux tu me faire visiter la demeure de tes ancètres ?
Mais tu dois être fatiguée et tu dois te changer. Veux tu que je te laisse ?
Je t'attendrai derriere la porte.

Elle était merveilleuse !
Toute en simplicité, sa robe bleue pastel rehaussait la couleur de ses yeux et mettait en valeur ses formes harmonieuses.
Tu es un ange !
Dit il avec la voix chargée d'émotion
Et je suis prét à te suivre en enfer s'il le faut !
Il prit sa main , l'attira doucement contre lui et l'embrassa languoureusement.

Moorcock se laissa guider par sa belle.
Le chateau était une demeure rassurante, chaude comme la main de Cecill qui le menait à travers les couloirs.
De grandes tentures anciennes ornaient les murs et de ci, de là, un tableau était éclairé par deux chandeliers mureaux.
Il se demanda s'il s'agissaient des ancétres de sa douce. La plupart avait le visage serein et calme.
Il regarda encore sa promise et se dit :
Elle leur ressemble !

Puis reprenant la visite, lança :

On commence pas par le cave, au moins !

Il lui vola un baiser et la suivit, docile.

hondo toqua à la porte de la chambre de sa soeur ...pas de réponse ; puis il entra sans faire de bruits , il vit que cecilll dormait à point fermé puis il lui chuchota a l'oreille:
cecillllllll , ça fait des heures que tu dors . t'es pas malade au moins ? c'est plus l'heure de dormir ...

Moorcock était monté voir si Cecilll allait bien.
Il avait entendu la voix de Messire Hondo et celle de sa douce, puis l'eau coulé et il était heureux de savoir qu'elle s'etait levé.
Elle prenait un bon bain !
Il en aurait bien pris un mais ce qu'il avait à faire était plus important.
Il griffona sur un bout de papier quelques mots qu'il glissa sous la porte de la chambre de Cecilll.
Les mots qui y étaient inscrits se voulaient rassurant:
[i]Désolé, mais une affaire importante me rappelle à Dole. Excuse moi auprés de ton frère, son accueil à été digne de son rang.
On se reverra plus tard !

Il quitta le chateau des Nevers avec le sombre pressentiment de ne jamais y revenir.

La vie est ainsi faite, se dit il, on croise des gens merveilleux et ils deviennent des souvenirs !

hondo toqua à la porte de la chambre de sa soeur avant quelle parte , il lui dit : qu'est ce qu'il t'arrive grande soeur , tu as l'air si triste ?

Répondit a son baiser avec autant d'amour que son coeur offrait en l'enlaçant doucement pour délicatement la pousser vers le lit et les faires tomber dessus


Moi aussi je t'aime et je ne douterais pas de ton amour.

Il lui sourit en la regardant dans les yeux

Elle se laissa glisser sur le lit, se blotti dans les bras de Silius et ne voulait pour rien au monde le lacher...

Peu importe ce qu'il pouvait se passer ..elle se sentait bien , comme dans un rêve... un rêve qu'elle ne voulait pas gacher...